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Résumé, critique, réédition(s) du roman : cliquer sur le titre ou la couverture.

7

"L’œil était dans la tombe"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE" n°7
- 1955 -
tête

"Maléfices"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE" n°18
- 1956 -
18
24

"Nous avons tous peur"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE" n°24
- 1956 -
tête

"Terreur en plein soleil"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE" n°38
- 1958 -
38
86

"Le tambour d'angoisse"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE" n°86
- 1962 -
tête

"Le bourg envoûté"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE" n°111
- 1964 -
111
119

"La figurine de plomb"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE" n°119
- 1965 -
tête logo
La présentation "à la tête de mort" disparaît à partir du n°148...
199

"Le mort qu'il faut tuer"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE" n°199
- 1971 -
FN

"L'objet maléfique"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE" n°226
- 1972 -
l'objet maléfique


"L’œil était dans la tombe"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°7

- 1er trimestre  1955 -

7

Couverture édition originale - 1955

Rééditions :
# Pas de réédition connue
   
Résumé :

    Patrick Gallaghan, 38 ans, habite une petit maison Parisienne. Sa vie est calme et tranquille. Une modeste fortune lui permet de vivre normalement, d'employer une vieille bretonne, Mathilde, comme servante et de s'adonner à sa passion de collectionneur de bateaux en miniature. Il fait donc régulièrement les brocantes et c'est par ce biais qu'il achète une curieuse boule de verre dans laquelle il croit voir un petit personnage se mouvoir.

    La nuit suivante, Patrick sort en boite de nuit, et retrouve deux de ses fréquentations, Armand Duvivier et sa fiancée, Catherine Moreuil; cette dernière lui avoue qu'elle est secrètement amoureuse de lui.
    Cette même nuit, l'être caché dans la boule de verre fait son apparition avec grande démonstration.
    La vie de Patrick Gallaghan s'en trouve bouleversé à jamais: les hantises de son passé vont resurgir et le persécuter.

Critique :

    Il s'agit là du premier texte fantastique de l'auteur qui n'avait jusque là fait paraître
que 4 ou 5 romans de genre, en l’occurrence des romans de science-fiction.
    Il est clair qu'à la lecture des premières lignes, le style n'est pas au rendez-vous. Les descriptions sont assez naïves, sans réel effet. Les personnages restent sans grande profondeur. Pourtant, le roman se laisse bien lire de part son charme suranné et son récit qui «coule» tout seul.
    Quoi qu'il en soit, ce roman est prometteur. Il annonce un style, une méthode narrative et de construction que Bruss utilisera à plusieurs reprises:  l'histoire dans l'histoire et l'omniprésence du passé. Ce qui nous donne un «huit-clos» dans son genre.
    La fin semble bâclée; elle arrive en moins de deux pages. Le lecteur aurait le droit de s'imaginer, que les contraintes d'éditeur (limitation du nombre de page de la collection) ont fait commettre à Bruss une chute sans saveur. Et pourtant, l'auteur arrive à gérer cette fin rapide afin qu'elle soit en harmonie totale avec les tourments de notre héros. On n'échappe pas à son passé. Et si celui-ci ne nous juge pas, nous nous jugerons nous-même, de manière inconsciente.
   




"Maléfices"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°18

- 1er trimestre  1956 -


18
Couverture édition originale - 1955

Rééditions :
# Fleuve Noir
Collection "Super-luxe - Horizons de l'eau-delà" n°15 - 1975.



Résumé :

    Après l'inauguration d'un nouveau pont reliant deux communes, plusieurs accidents
mortels et étranges - sans compter ceux arrivés pendant la construction du ponts, se produisirent. Les habitants y voient un effet démoniaque, une malédiction, et demandent la destruction du pont.
    Seules 2 personnes au monde savent la cause de ces "accidents" : Gérald Sirven et sa femme.
    Gérald est ingénieur en chef dans une usine de métallurgie; il prendra connaissance de ces faits divers dans le journal et ira rencontrer le sous-préfet de la région dans laquelle se trouve le pont dans le but de faire démolir ce dernier.
    L'histoire commence deux ans auparavant, à Muire, en Sologne. Le père de Gérald a invité plusieurs personnes à passer quelques jours dans son château, afin de profiter de la campagne et pratiquer la chasse. Lors de la première sortie, quelques événements étranges se produisent : les chiens se comportent bizarrement, semblant chasser une chose invisible; l'un des invité se fera blesser par un sanglier d'une singulière manière. Tous le monde est dubitatif, et la soirée au château
se passera dans une atmosphère lourde. Des événements extraordinaires viendront compléter le tableau : un gamin racontera avoir vu un des chiens marcher le long du tronc d'un arbre et on découvre des traces de pattes de chien sur les murs et au plafond d'une des chambres du château...

Critique :

    Bruss utilise à nouveau la méthode de l'écrit dans l'écrit. C'est efficace. Les personnages principaux, ingénieurs et scientifiques, sont confronté à une expérience d'ordre surnaturelle, marquant ainsi un contraste plus évident entre le rassurant et la peur. Tout est dans l'ambiance qui monte au fur et mesure et dans l'aspect manichéen des éléments : le décor zigzaguant du château (connu) vers la forêt (inconnu); les personnages rassurant d'un côté (Gérald, son père, Gilles,...) et assez énigmatiques de l'autre (Hopkins, Hurlo, Elina,...). Cette "Partie de chasse en Sologne", qui lorgne un peu vers "Le chien des Baskerville", arrive à vous tenir en haleine jusqu'à la fin. Et même si l'explication finale est un peu trop "grandiose", on passe un agréable moment digne des bons romans de la collection "Angoisse".
     Notons que les différents personnages auront chacun un réel intérêt dans l'articulation et la structure du roman, marquant une maîtrise plus prononcée de Bruss. En une année, de "l’œil dans la tombe" à "Maléfices", un auteur est né. Cela nous promet d'excellents moments pour les romans suivants.




"Nous avons tous peur"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°24
- 4ème trimestre  1956 -
- 4ème trimestre  1956 -
24
Couverture édition originale - 1955

Rééditions :
# Marabout
Collection "Bibliothèque Marabout Fantastique n°472 - 1974.

# Néo
série "Fantastique / Science -fiction / Aventures" n°30 - 1981
#
La Baleine
Collection " Baleine Noire" - 2007

Résumé :

    Jimmy Hoggins est envoyé par son journal, le "Winnipeg Standard", dans la petite ville de Cockshill. Il doit y enquêter afin de découvrir pourquoi de nombreuses familles quittent la ville sans raison apparente.
    A son arrivée, il rencontre John Heckburne, homme d'une grande affabilité qui lui donne couvert et le loge pour la nuit. Mais si le repas et la soirée sont des plus délicieuses, la nuit de Jimmy est perturbé par un mauvais cauchemar mettant en scène un personnage effrayant du nom de "Blahom".
    Au lendemain, Jimmy va s'installer à Cockshill et y découvre des habitants au comportement étrange, et restant muet sur les événements. Peu à peu, Jimmy se rends compte que les gens on peur, non seulement de parler, mais d'évoquer.
    Quelques jours plus tard, Jimmy fait la connaissance de Édith Gibbson dont il tombe amoureux. Mais si ses journées sont merveilleuses, ses nuits deviennent cauchemardesques avec la réapparition de "Blahom".

Critique :

    Deux ans à peine depuis son premier roman fantastique et Bruss nous surprends par un style propre, maîtrisé et savamment dosé. Bruss utilise un style différent avec un récit raconté à la première personne, ce qui donne, d'une part plus de force au récit, et d'autre part une plus grande crédibilité dans les propos.
    Disons-le tout de suite, la fin et son explication semblent un peu légères et faciles, même si Bruss arrive encore à nous faire douter et laisse tourner en roue libre notre imagination. La dynamique de ce roman, c'est la rémanence du malaise ambiant dans lequel baignent les personnages et qui immanquablement vous envahi. "Blahom" : personnage au nom énigmatique ? Prononcez-donc son nom à haute voix et vous en ressentirez des frissons et un certain malaise : Bruss joue aussi avec la sonorité. Quant aux descriptions de ses actes, elles sont très fortes et Jimmy / Bruss refuse même d'écrire certaines choses tant elles sont ignobles. Et le génie de Bruss sera de laisser le lecteur s'imaginer, donc de se lire lui-même l'horreur telle qu'il la conçoit : Le lecteur n'est plus un simple spectateur, il participe pleinement à la construction du climat de terreur.
    Toute la mise en place de ce malaise ambiant  se finalise par l'attitude, le comportement et la réaction des habitants de Cockshill vis-à-vis de cette terreur innommable. La superstition est forte et elle peux engendrer le pire. Car n'oublions pas que si Bruss nous donne une solution en fin de roman, le lecteur attentif notera que certains faits n'en trouvent pas pour autant une explication. Doute et peur n'ont jamais fait aussi bon ménage.




"Terreur en plein soleil"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°38

- 1er trimestre  1958 -

38
Couverture édition originale - 1958

Rééditions :
# Fleuve Noir
Collection "Super-luxe - Horizons de l'eau-delà" n°5 - 1975.

Résumé :

    Patrice Solier est un homme heureux. Il est fiancé à Catherine Delambre et doit l'épouser dans deux mois. Il est associé à Germain Sinval et Robert Delambre, le frère de Catherine, dans une affaire d'import-export qui tourne très bien. Enfin, sa
sœur, Lucie Solier, va elle, se marier le même jour que lui, à son associé et ami, Robert Delambre. Il a acheté un petit "pigeonnier" pour lui et sa futur femme : c'est le bonheur...
    Le bonheur, jusqu'à cette inquiétude de Catherine envers son frère, qu'elle trouve perturbé depuis quelques jours. Robert sera surpris à plusieurs reprises, sortant on ne sait où durant la nuit.
Patrice essayera en vain de savoir ce qui tourmente son ami, qui se refusera de parler, évoquant quelque chose d'incroyable, d'incompréhensible.
    Un matin, on apprend que Robert et deux autres hommes, tous bien de leur personne et situation, se sont fait prendre en flagrant délits de cambriolage. Cela semble insensé.
    Sauf si on évoque "l'homme en gris", ce personnage qui hante les rêves de Catherine et qui semble être lié au comportement étrange de Robert.

Critique :

    Réutilisation, en grande partie, du mode narratif par le biais d'un journal. On va ainsi à l'essentiel. Dès l'installation de l'intrigue et un minimum de révélation, on retrouve l'idée de son précédent roman fantastique "Nous avons tous peur". En prenant un peu plus de recul, on y voit un thème récurrent de l'œuvre fantastique de Bruss : la capacité à interférer, à communiquer avec les pensées des autres et particulièrement pouvoir lire  leurs pensées. Ce thème mérite sans aucun doute une analyse plus poussée.
    Le roman est correctement écrit (malgré les nombreuse coquilles de l'édition originale). Bruss saura surprendre par moment dans ses révélations, lorsqu'il les glissera subrepticement au milieu d'une phrase.
    L'auteur prendra un malin plaisir à décrire, au début du roman
un bonheur sans nom et, par la suite sa lente et inévitable déliquescence. Encore une fois, l'un des autres thèmes majeurs de ses romans de genre est présent : le bonheur avec la femme idéale est impossible. Il y a toujours des éléments surnaturels qui s'y opposent.
    Quoi qu'il en soit, c'est un roman agréable, mais pas un grand Bruss. Le Bien et le Mal s'y livrent à nouveau un combat. Et même si le Bien fait parfois le mal, c'est qu'il y est peut-être obligé, malgré lui. Vraisemblablement un nouveau message de l'auteur.

nb: Sur l'édition originale, le logo "à la tête de mort" de la collection "Angoisse" est absent et de la couverture et de la tranche.




"Le tambour d'angoisse"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°86

- 2ème trimestre  1962 -

tambour
Couverture édition originale - 1955

Rééditions :
# Marabout
Collection "Bibliothèque Marabout Fantastique n°428 - 1973.

# Néo
série "Fantastique / Science -fiction / Aventures" n°48 - 1982
# Fleuve Noir
Collection "Super-luxe - Horizons de l'eau-delà" n°145 - 1983.

Résumé :

    Jim Forrestal, géographe, et Lucy Stewart, botaniste, sont les seuls survivants d'une expédition scientifique dans le désert australien composée de 15 experts. Tous sont morts, sauf eux deux.

    Forrestal à rédigé pendant cette expédition un journal de bord qui relate la lente descente aux enfers de ce groupe. Partie de Alice Springs, petit bourgade située dans le centre du continent Australien, à la recherche de gisements d'uranium, les membres de l'expédition vont, petit à petit, 
les uns après les autres, basculer dans la folie. L'équipe sombre peu à peu dans la paranoïa, soupçonnant tel ou tel membre d'être un espion.
    Des choses étranges se produisent tel ce battement de tambour qui vient d'on ne sait où et qui est là, jour et nuit. Ce brouillard bleu qui camoufle l'expédition, empêchant le ravitaillement et le sauvetage. Et ces petit êtres bleus, ces « aranis », dont certains membres feront mention dans leur folie...


Critique :

     L'un des meilleurs romans fantastique de Bruss, sans aucun doute. Une fois de plus le huit-clos est là : 15 personnes « enfermées » dans un désert. Une fois de plus, l'histoire est dans l'histoire de part le mode narratif de l'auteur : un journal de bord nous raconte ce qu'il s'est passé avant le sauvetage des 2 seuls rescapés. Et une fois de plus, les thèmes majeurs de Bruss: la folie, l'angoisse, la hantise, sont là. Tout est affaire d'impressions, de sentiments, de doutes.

    Le style est davantage maîtrisé; les personnages présentent un caractère suffisamment développé et qui s'exacerbera sous l'emprise de la situation. C'est une agonie de personnes qui semblent totalement saines à la base et qui sont des scientifiques, donc dotés de rigueur, de sens commun et de logique. Et c'est avec cela que Bruss renforcera l'effet de son roman; en déstabilisant vers la folie des êtres qui seraient, à priori, les moins susceptibles de le faire.
     Les descriptions relatives aux décors rendent aussi une touche particulière au roman; le vide du désert efface tout repère possible et ne laisse que des personnage nus, avec leurs seules qualités, leurs seuls défauts, augmentant ainsi le contraste entre eux et cette folie. Le lecteur ne manquera pas de se poser la question, tout au long du roman, de la véracité des faits. Tout est décrit par un seul personnage et l'on peut raisonnablement penser qu'il peut être ou fou, ou l'un des ces « espions » et qu'il a tué les autres membres.
     La fin du roman, nous laisse sur une question classique chez Bruss : tout cela est-il vrai ? Avant de tout refaire basculer à nouveau vers le surnaturel.
        Excellent.






"Le bourg envoûté"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°111

- 3ème trimestre  1964 -



111
Couverture édition originale - 1964

Rééditions :
# Marabout
Collection "Bibliothèque Marabout Fantastique n°628 - 1977.

# Fleuve Noir
Collection "Super-luxe - Horizons de l'eau-delà" n°91 - 1980.

Résumé :

   
Jack Deans est un auteur de romans d'épouvantes et à pour méthode d'écriture, celle d'être en un lieu d'inspiration. Il se fait conseiller par un ami le village de Guilclan situé en Écosse. L'histoire qu'il va nous conter s'est passée quarante ans auparavant et il ne nous la livre qu'aujourd'hui, car il sait que son heure approche.
    Après une longue et pénible route vers New-Guilclan, le nouveau village, Jack Deans trouve enfin quelqu'un susceptible de le conduire à Guilclan: Betty; sublime jeune femme aussi mystérieuse qu’envoûtante. Déposé au pieds de l'unique hôtel de l'endroit: "Le cercle noir", il est accueilli par la tenancière Mrs Gulliburbory. Les heures et jours qui suivent font rencontrer à Jack toute une galerie de personnages tous aussi étranges les uns que les autres: des trois boiteuses dont seule une est encore voyante et guide les deux autres, Peter Gilcross, l'antiquaire, qui semble savoir et cacher quelques secrets, Hérold Gruen, le poète fou ou Sally, la servante du "cercle noir", dont la langue est tranchée. Tout dans ce village semble appartenir au passé, des devantures de magasins aux traditions dont on a, semble-t-il, oublié l'origine. Les promenades d'exploration de Jack lui font entre-apercevoir des volets et portes qui se ferment et des gens qui se dissimulent à son approche.
    Seul le docteur Anton Arnold semble apte à raconter quelques histoires sur Guilclan, dont une sombre et très ancienne querelle entre deux clans: les Ludmar et les Salforth, qui, plusieurs siècle après, conditionne le climat d'angoisse et de terreur des habitants de Guilclan.

Critique :

     Le romancier qui recherche une atmosphère nous la donne de main de maître. L'installation de notre personnage principale dans ce village nous est transcrite avec efficacité. Bruss dirige admirablement le rythme, les descriptions tant émotionnelles que décoratives. Une nouvelle fois, l'histoire est dans l'histoire et notre héros peut à nouveau s'apparenter à l'auteur.
    Autres thèmes récurrents:
- Le passé. C'est lui qui conditionne le présent; qui fait que parfois, la vie en devient tellement dépendante, qu'elle en est presque impossible.
- La femme inaccessible. Une barrière d'ordre surnaturelle empêche notre héros de pouvoir l'aimer. Car si l'intention est là, une force occulte l'en empêchera.
    Bruss est comme ses personnages, perdu dans un univers qu'il veut fantastique pour s'éloigner de la réalité. Thème évident de l'auteur qui fuit son histoire, son quotidien. C'est avec une efficacité réelle qu'il y parvient, pour son besoin et pour notre plus grand bonheur.





"La figurine de plomb"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°119

- 2éme trimestre  1965 -

119
Couverture édition originale - 1965

Rééditions :
# Fleuve Noir
Collection "Super-luxe - Horizons de l'eau-delà" n°111 - 1981.

prochainement




"Le mort qu'il faut tuer"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°199

- 2éme trimestre  1971 -

199
Couverture édition originale - 1971

Rééditions :
# Pas de réédition connue

prochainement




"L'objet maléfique"

Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°226

- 4éme trimestre  1972 -

226
Couverture édition originale - 1972

Rééditions :
# Fleuve Noir
Collection "Super-luxe - Horizons de l'eau-delà" n°43 - 1977.

prochainement